La chanson du Régent

Le grand inquisiteur sortait enfin de la bibliothèque. Les marches qui descendaient sur la place étaient glissantes à cause de la neige qui tombait dru ce jour là. Le Grand Inquisiteur n’était pas de plus satisfait.

« Que des vieux débris séniles. Comment peut-on perdre les récits complets de la chanson du Régent. Que vais-je viens bien pouvoir raconter à mon seigneur ? Alors que dans deux semaines commence la cérémonie Liante. Je dois trouver absolument une solution. »

Le Grand inquisiteur avançait toujours à travers la cité pour rejoindre le palais. Arrivé dans le hall, il put se défaire de sa capuche et prendre la direction de son bureau. La pièce était glaciale. Le Grand Inquisiteur raviva alors les braises de l’âtre et recouvrit le feu de nouvelles buches.

Le jeune homme griffonna une bonne partie de la matinée des idées qui lui venaient. Mais rien n’était concluant. Les carillons du temple sonnèrent une heure de l’après midi. Ces notes lui rappelèrent ce que jadis lui avait enseigné son précepteur.

« Vois-tu Lohnl, les notes de notre carillons se rependent comme le vent. Elles parcourent les terres alentours pour atteindre les frontières de nos terres. Et lorsqu’elles entrent dans les royaumes de nos voisins. Ces notes leur rappellent alors notre puissance et notre suzeraineté sur eux. »

C’était ça. Là solution était toute simple. Le Grand Inquisiteur allait faire appel aux seigneurs des alentours pour écrire de nouveaux récits pour une nouvelle chanson du Régent. Ce dernier était bien trop petit pensa l’Inquisiteur quand il entendit pour sa seule fois ces récits. Alors il n’en saurait rien s’ils avaient changés.

Le Grand Inquisiteur donna donc ce message à copié et répandre :

Seigneur nous avons besoin de votre aide. Nos érudits sont bien trop occupés pour satisfaire notre besoin qui n’est autre que la réalisation de nouveaux récits pour la chanson du Régent. Vous avez deux semaines pour composer la plus belle chanson du Régent. Bien sur le propriétaire de la chanson se verra récompensé par 75 000 unités de chaque ressource.
Cordialement, Le Grand Inquisiteur.

P.S : Petite information. La chanson doit être conséquente c'est-à-dire qu’une chanson de 10 lignes n’aura aucune chance de l’emportée. Quand nous disons chanson c’est un simple terme. Vous pouvez faire cela sous forme d’un poème par exemple. Le

Grand Inquisiteur sera le seul à choisir la meilleure production de votre part.

Cependant la chanson seule ne suffit pas. Si vous souhaitez la soumettre à l’autorité du Grand Inquisiteur, il vous faudra la posté ici même mais avec une partie Rp qui explique comment vous avez fait pour l’écrire et qu’ensuite vous me l’apporter en main propre.

Vous avez deux semaines pour la composer à partir du 7 janvier à 11h00.

La cérémonie Liante est une cérémonie à la quelle l’ensemble de la population d’Alamadis participe. Elle rend hommage aux ancêtres qui ont permit la création de cette cité. Le régent y participe en chantant les récits de la chanson du Régent.
Voila vous avez toutes clés pour gagner vos ressources. Bonne chance à vous !

ET un grand cri resonna dans la ville

Ennemie a nos portes
Femme de toutes les sortes
La fin arrive pour nous
Nous allons finir dans la soupe de chou

À l'aide, à l'aide
Protégez-nous de cette tempête
À l'aide, au secours
C'est a notre tour

Ennemie a nos portes
Femme de toutes les sortes
La fin arrive pour nous
Nous allons finir dans la soupe de chou

Mais il est la, unique
Le régent cadavérique
Pret a mordre l'ennemie
À les faire fuir de nos vies

Ennemie a nos portes
Femme de toutes les sortes
La fin arrive pour nous
Nous allons finir dans la soupe de chou

Merci au régent
De nous avoir sauver les dents
D'avoir envoyer nos ennemies au trou
Dans leur soupe aux choux

et la voie s,étendit dans la nuit

Le message était parvenue jusqu’à Tilka. 75 000 de ressources n’était pas négligeable dans la quête que s’était fixé Tilma. Il fit alors réunir les meilleurs poètes de la cité. Tous travaillèrent d'arrachepied. Jour et nuit, sans aucune pose, ils tentaient de mettre en musique et en rime la nouvelle chanson du régent.

Tilma était sur les murs de la première enceinte de la cité. Il regardait au loin les vastes plaines du Diorr. Le silence de la matinée fut dérangé par des bruits de pas. L’un des poètes était venu le rejoindre

« Magnifique spectacle, Emparté. J’ai une bonne nouvelle ! Nous avons terminé. »

Ils étaient là dans le bureau du Grand Inquisiteur qui était assit face à eux. Tilma allait commencer la chanson, il n’attendait plus que la première note du harpiste.